POINT DE RENCONTRE POUR IMAGINAIRES VOYAGEURS Galerie Intemporel et la Collection GELONCH – VILADEGUT Henri Guédon Salvador Dalí Elizabeth Colomba Exposition du 17 Octobre au 31 Décembre 2014 Joàn Miró Col·lecció Gelonch Viladegut www.gelonchviladegut.com 37, rue Quincampoix, 75004 Paris, France Tél. 33 (0)1 44 51 63 29 - 33 (0)6 18 44 17 58 www.galerieintemporel.com [email protected] du mardi au samedi de 14h00 à 19h00 et sur rendez-vous Commissaire : Laurence Choko Traduction de l’espagnol au français Melanie Choko Traduction du français a l’anglais Jacques Chard-Marie-Sainte Remerciements à Carlota Gelonch, Emmanuel Gabriel et Bérénice Gabriel MONTOTO Arturo « Tranche de Pastéque » 2012– Aquarelle – 80X80 cm BORRELL Alfons « Barcelona 79 » 1979 - Lithographie Ed: 13/99 76 x 56 cm RIERA i ARAGÓ Josep TÀPIES, Antoni «Sans titre » Non daté - Eau-forte illuminé à la main - Ed : 5/79 - 75,5 x 56 cm «Quatre fleuves de sang» Non daté – Lithographie BECHTOLD Erwin « Sans titre » - Non daté Eau-forte, carborundum et lithographie - Ed : P.A. 1/15 - 65 x 49,5 cm. MONTOTO Arturo « Graine de Pastéque » 2012– Aquarelle – 80X80 cm Point de rencontre pour imaginaires voyageurs Yolanda Wood Les merveilleux paradoxes du voyage créent la possibilité, tant attendue, d’un point de rencontre où vient s’achever un trajet, et commence un dialogue fécond avec l’inconnu, révélant ainsi la route de chemins futurs. C’est le cas de Paris, qui, au fil des années, devint un centre de convergence facilitant tout type de relation ; et ce plus particulièrement pour le monde de l’art, puisque c’est là que se sont initiés les échanges créatifs les plus passionnants. Paris est une ville hors du temps et il est naturel qu’il y existe une galerie dont le nom en définisse parfaitement l’intention : Intemporel. Dans cet espace d’ « intemporalité artistique », se côtoient des plasticiens aux origines et expériences culturelles diverses, et c’est dans ce lieu que se tiendra une exposition proposant à chacun d’apprécier toute la mesure de l’acte créatif. Les artistes et les œuvres sont porteurs d’imaginaires voyageurs arrivés à un point de rencontre, et c’est dans cet univers esthétique, fonctionnant selon ces propres codes temporels, que s’inscrit l’exposition. Elle laisse découvrir un dialogue inédit mais nécessaire à notre société contemporaine, qui réunit les discours si distincts de la Caraïbe et de la Catalogne, pourtant tous deux méditerranéens puisque provenant de pays entourés par la mer, au milieu de la terre. D’un côté, un discours américain plus communément reconnu comme proprement caribéen ; de l’autre, la légendaire Europe chargée de toute son histoire passée et actuelle. Une exposition donc peu ordinaire qui ne cherche pas à mettre en avant les différences nées de cette géographie, mais qui s’attache à présenter les artistes dans leur individualité, et ce qui est inhérent à l’art : l’universalité de la sensibilité artistique. Les œuvres exposées couvrent une période très vaste ainsi qu’un champ de références qui l’est plus encore. A travers elles, s’entremêlent de multiples impressions et réflexions qui, lorsqu’elles sont misent en relation, dépassent complètement leur contexte originel, et qui, finalement, forment un art qui échappe à tout enracinement, s’internationalise, va et vient. C’est dans cette perspective que s’impose le point de rencontre établi par cette exposition, en devenant ainsi un lieu commun par-delà les écoles, les tendances et les styles, mais qui ne sert pas pour autant de thème fédérateur ou de critère de sélection des œuvres. On y trouve donc des artistes nés avant et après la deuxième moitié du XXème siècle, des œuvres postérieures et d’autres plus récentes, des maîtres, des plasticiens consacrés mais aussi d’autres plus jeunes. Ainsi, cette exposition propose de mieux comprendre ce qui est propre à chaque artiste : leurs imaginaires, tous voyageurs à cette occasion. Pourtant, il existe bien un contraste entre les procédés et les langages utilisés : une collection de gravures aux techniques diverses, représentant la Catalogne grâce à des artistes emblématiques du siècle passé, tels que Miró, Dalí et Tapies, exposée face aux œuvres que l’on trouve habituellement à la galerie Intemporel. Cette rupture de l’histoire de l’art via les figures et styles présentés dans ce projet, peut être considérée comme une sorte de tribut allant au-delà des distances critiques entre ceux qui n’étaient pas encore là lorsque les autres l’étaient, et ceux qui le sont aujourd’hui tandis que les autres ne le sont plus. Cette dimension qui transgresse le temps et l’espace permet l’établissement d’un discours qui abolit les hiérarchies et révèle la considérable transversalité du monde artistique, en mettant en valeur des créateurs aux latitudes différentes, qu’elles soient celles de l’Europe continentale ou des îles de la Caraïbe. Ainsi se redessinent les lignes périphériques d’une cartographie culturelle hégémonique qui permit l’écriture de l’Histoire de l’Art, empathique et en majuscules. Dans sa diversité, l’exposition dévoile le changement de sensibilité qui s’est opéré dans l’art afin d’ouvrir la voie à l’art contemporain après la seconde moitié du vingtième siècle, dont Miró, Dalí et Tapies furent les principaux fondateurs et protagonistes. Tant le surréalisme que l’abstraction furent essentiels aux nouvelles directions que prit l’art dans les centres de pouvoir symboliques et les espaces périphériques, témoignant ainsi d’un déséquilibre historico-artistique dans le processus de création ; cela fut le cas dans la Caraïbe, que les artistes résident dans leurs pays d’origine ou leurs diasporas. Avant tout, ce fut l’abstractionnisme, non pas celui du début du vingtième siècle qui intéressa peu ou pas les plasticiens caribéens, mais plutôt les effets rénovateurs de l’art pauvre et informel qui initièrent un changement dans les paradigmes esthétiques et les critiques artistiques, en mettant en valeur la liberté suprême de la subjectivité créatrice dans l’emploi des ressources plastiques. Un nouvel univers s’ouvrit pour les artistes qui comprirent que la réalité pouvait être créée plutôt que seulement représentée, et que le caractère sensible de la notion de surface pouvait faire de celle-ci le réceptacle de nouvelles alternatives plastiques et communicationnelles. Le champ des possibles créatifs fut ainsi grandement décuplé. Aussi, le symbole fut maître du panorama créatif, notamment en devenant un signe visuel lorsque les référents furent assimilés à des attributs chargés de sens. La sélection et la synthèse devinrent aussi des opérations intellectuelles jusqu’à atteindre l’absolue conceptualisation de la réalité comme unité de sens. Tous ces procédés sont visibles dans les œuvres exposées, et ce même si la figuration y est clairement présente ; l’aboutissement de l’exposition n’en est que plus saisissant grâce à l’hétérodoxie du langage artistique utilisé et aux libertés inspirant l’expression visuelle. Il s’agit d’un moment d’interconnectivité majeure, inhabituel et sans précédent, qui pourrait s’envisager comme l’internationalisation de l’art, issue de multiples ruptures existentielles, de périodes de changement de sensibilité et de paradigmes, ainsi que de crises successives, où se réduisent les distances entre les territoires, l’intensité des va-et-vient laissant découvrir un nouveau panorama de communication entre les sociétés. Cependant, l’art ne s’oppose pas à la réalité ni ne s’en sépare ; il propose simplement de la créer depuis la culture et l’imagination. Il s’agit d’un débat intrinsèque à la modernité proprement européenne sous l’influence des courants artistiques provenant des Etats-Unis, marqués aussi par l’empreinte caribéenne. L’œuvre d’art s’ouvrant ainsi à une meilleure compréhension de l’histoire de la signification de l’abstraction, interprétée plus comme un instrument esthético-artistique dans le processus de création ; tandis que les autres tendances figuratives commencèrent à apparaître sur la scène internationale dans les années 1960 et 1970, telles que le pop art et la nouvelle figuration, qui participèrent aussi à l’ouverture du dialogue artistique à la contemporanéité. En développant la capacité artistique de toutes les méthodes employées par le langage plastique ainsi que ses expressions potentielles, l’art s’est emparé de certaines zones dans le monde spirituel du plasticien qui privilégièrent des aspects méconnus de la manière de faire et de penser les arts plastiques au sein d’une nouvelle culture visuelle, comme le révèlent les artistes caribéens lorsque l’on centre notre attention sur leurs œuvres, provenant plus particulièrement de la spiritualité caribéenne et des ressources de l’intertextualité. L’univers du réel a abandonné son rôle de référent et les artistes pénétrèrent dans des contrées toujours plus introspectives, fournissant ainsi toutes les métaphores possibles à la création afin d’y montrer le visible et l’invisible, le réel et le figuré. C’est avec force que se découvre cette synthèse dans les œuvres graphiques des graveurs catalans. Un procédé commun rapproche ces œuvres pourtant lointaines en ce point de rencontre. Les imaginaires voyageurs des artistes exposés permettent de réduire considérablement les longues distances opposant la Catalogne et Paris, ou plus encore celles entre le vieux continent et la Caraïbe. La spontanéité du tracer, l’épaisseur des pigments, la durée de l’œuvre comme quelque chose qui y vit, l’autonomie propre aux images, indiquent des zones d’exploration permettant d’atteindre une conscience culturelle dans laquelle la flexibilité du langage des signes a non seulement épuré les codes artistiques en les rendant plus synthétiques et expressifs, mais a aussi sensibilisé la perception du spectateur afin de lui révéler la façon dont le réel et l’imaginaire estompent les frontières entre différents espaces géographiques pour faire converger les imaginaires artistiques au point de rencontre qu’est l’Intemporel. Cojímar, le 12 juillet 2014 RÀFOLS-CASAMADA Albert « Jaune incandescent » - 2007 Eau-forte – Ed : 7/9 - 56 x 76 cm. MIRANDA Ibrahim « Talisman » - 2014 – Technique mixte/toile - 150x100 cm. CAMP Joaquim « Sans titre » - 1990- Eau-forte et aquatinte : Ed : 1/25 - 44,5 x 32 cm. MIQUEL Anna « Carte Postale BCN rouge » - Circa 1950 – Lithographie – Ed : 72/75 58 x 75,5 cm. MIRANDA Ibrahim « Sans titre » - 2014 - Technique mixte/ carte sérigraphiée. 25x200cm. Meeting place for wandering imaginaries Yolanda Wood The wondrous mystery of a trip creates the so-awaited possibility of a meeting point where a trajectory ends, and a fruitful dialogue begins with the unknown, thus revealing a roadmap to paths to come. Case in point, the city of Paris which, as the years passed, became such a focal point, allowing all possibilities of relationships, specifically for the artistic world, as this is where the most creative and fascinating exchanges were initiated. Paris is a city beyond time and it does make sense that there exists an Art Gallery whose name perfectly defines that intent: “Intemporel”. In that space of “artistic intemporality”, artists from different origins and cultural experiences meet together, and it is precisely there that will take place an exhibition where everyone will have the opportunity to appreciate the scope of creativity itself. Both artists and art pieces bring forth what can be called « wandering imaginaries »: coming to a meeting ploint. The exhibit will take place in this aesthetic realm that functions with it’s own temporal codes. It facilitates the discovery of an unusual dialogue, but so necessary to our contemporary society, that brings together the distinct Caribbean and Catalonian discourses, both Mediterranean in that they come from countries surrounded by the ocean, in the midst of the earth. On one side, an American discourse, even though recognized as specifically Caribbean; on the other, a legendary Europe brimming with it’s own past and present History. Thus, an exhibition out of the ordinary that does not attempt to accentuate the differences born out of that geography, but on the contrary endeavors to present each artist’s individuality along with what is intrinsic to art: the universality of artistic emotion. The pieces being exhibited cover a vast period of time and a field of references that is even larger. Through them, multiple impressions and reflections are intertwined and so, as they are placed in relationship, they go beyond their original context creating an art space that escapes any specific rooting, becomes international, comes and goes around. It is in that perspective that this exhibit is a must, becoming a nexus beyond schools, trends and styles, but still does not pretend to be an argument to federate nor discriminate art pieces. Therefore, here you will meet artists who were born before and after the second half of the 20th century, art pieces that are posterior and more recent ones, masters, recognized artists and emergent ones. This exhibition offers to better understand what is specific to each artist: their imaginaries, all of them wandering artists on this particular circumstance. Indeed, there is a divergence between the means and the languages at hand: a collection of engravings with mixed techniques representing Catalonia thanks to emblematic artists of last century such as Miro, Dali and Tapies, facing the pieces usually found at Intemporel Gallery. This fracture in Art History through the diverse figures and styles exposed in this show, can be viewed as a tribute of sort reaching beyond critical distanciation between those who were not yet present when others were, and those who are here today while others are not any more. This dimension that bypasses time and space, allows the actualization of a discourse that abolishes hierarchies and reveals the awesome transversality of the art world, as it puts forth creators with different means of expression, whether from continental Europe or from the Caribbean islands. In doing so, the peripheral lines of a dominant cultural mapping that wrote Art History with self-assurance and authority, are redrawn. Through it’s diversity, the exhibit unveils the emotional switch that occurred in art in order to open the way for contemporary art, following the second half of the 20th century, when Miro, Dali and Tapies were the most prominent creators and advocates. Surrealism as much as abstraction were central to the art new directions, in the very heart of the symbolic power centers and peripheral spaces, witnessing the historico-artistic shift in the creative process; such was the case in the Caribbean, whether the artists lived in their own native land or in the diasporas. Foremost, it was abstractionism, not the form of it from the start of the 20th century that less interested Caribbean artists, but rather the renewing influences of Arte Povera and informal art that boosted a change in aesthetic norms and art critics by placing to the forefront the notion of the supreme freedom of creative subjectivity in the use of artistic resources. A new universe became wide open for the artists who understood that reality could now be created rather than merely be represented, and that the delicate concept of surface could be conceived as the receptacle of new innovative alternative materials and means of communication. All of a sudden the scope of creative possibilities became demultiplicated, and the notion of symbol emerged at the center of creativity mainly as visual signs understood as objective references, were transformed into attributes charged with meaning. Selection and synthesis were transformed into pure intellectual proceedings and reached the point of absolute conceptualization of objective reality as a wholesome unit All of this can be seen in the pieces being displayed, even when the figuration is still clearly present; the underlined achievement of the exhibition is even more striking thanks to the mixed artistic languages being used and the freedom underlining the visual expression. What it’s about is nothing less than a moment of major interconnectivity, unusual and without precedent, that could be fathomed as the internationalization of art, born from multiple existential shifts of periods, of emotional and conceptual changes as well as of successive crisis where distances between territories are narrowed, the strength of the back and forth allowing a new landscape of exchanges between societies to be seen. However, art does not position itself in opposition to reality nor does it distance itself from it; it only offers to simply create itself from a cultural and imaginary point of view. It is all about an internal debate on European modernity under the influence of artistic movements stemming from the United-States, equally marked by a Caribbean imprint. Thus, the art piece opens up to a better understanding of the History of the significance of abstraction, better apprehended as an art aesthetic in the creative process; whereas others figurative approaches started to appear on the international art scene in the 1960’s and 1970’s such as Pop Art and New Figuration that also were involved in the opening of the artistic dialogue about contemporaneity. As it expanded the artistic possibilities of all the methods used by the artistic languages, art also captured some areas of the artist’s spiritual world that emphasized some unknown ways of doing and of thinking art in the realm of a new visual Culture, just like what the Caribbean artists do when you focus your attention on their production, most precisely from Caribbean spirituality and inter-textual resources. The universe of reality has given up on a role of standard, and the artists have entered into a world of never-ending self introspection, feeding on all types of imageries in order to enrich their creations so as to show what is visible and invisible, reality and figuration. It is with upmost strength that this synthesis is revealed in the graphic works of the Catalonian artists. A common approach brings closer together these spaced-out pieces. The wandering imaginaries of the artists allow to reduce dramatically the physical distances between Catalonia and Paris, and even more so between the old continent and the Caribbean. The free style and spontaneity of the drawing, the thickness of the pigments, the duration of the art piece intrinsically alive in the art piece itself, the autonomy of the images; all of the above points to areas of exploration that allow to reach into a cultural consciousness in which the flexibility of the language of signs has not only simplified the artistic codes by a process of an ever increased syntheticness and expressiveness, but also increased the awareness of the art lover in order to reveal the way in which reality and imaginary erase the borders between different geographical spaces in order to bring together artistic imaginaries to a meeting point called “Intemporel”. Cojímar, 12 de juillet 2014 GUEDON Henri Ecriture ABAKUA - 1998 - encre/papier 89x 157 cm. AMAT Frederic « Incendies » - Non daté -Eau-forte : Ed : 13/50 97x 68,5 cm. LLENA, Antoni 2003- « Hommage à Ràfols-Casamada» Non daté - Impression digitale Ed : 25/75 - 56 x 38 cm. ABAD Antoni « Sans titre » - 1981- Aquatinte Ed : P.A - 40 x 30 cm. HERNÁNDEZ PIJUAN Joan «Sans Titre» - 2003 - Eau-forte et aquatinte – Ed : 32/100 - 57 x 76 cm. Punto de encuentro para imaginarios viajeros Yolanda Wood Las sublimes paradojas del viaje crean la posibilidad, siempre esperada, del punto de encuentro, lugar donde culmina un trayecto y se avizora el diálogo fecundo con la otra parte. Ese punto en el camino se revela abierto para itinerarios futuros. París fue así a través del tiempo, un sitio de convergencias para propiciar las conexiones. Allí el mundo artístico confluyó para originar los más excitantes intercambios creativos. París sigue siendo lugar de todos los tiempos, y así ocurre ahora en este espacio galerístico de experimentación visual con un nombre que define su propia vocación expositiva: Intemporel. En ese lugar de l´intemporalité artistique, se encuentran artistas provenientes de latitudes diversas con experiencias culturales también distintas, la muestra es para el disfrute del acto de creación. Todos los artistas y las obras son portadores de imaginarios viajeros, llegados al punto de encuentro desde otro lugar. Y en ese territorio artístico que vive su propio tiempo, esta muestra propone una plática original y necesaria a la contemporaneidad, la de los disimiles discursos que emergen al reunir artistas de las Antillas y de Cataluña, todos mediterráneos, es decir, de países bañados por un mar en medio de la tierra. Unos desde el americano proverbialmente identificado como Caribe y otros desde el legendario europeo, de tantas historias antiguas y presentes. Muestra poco usual que no busca distinciones por esos orígenes geográficos sino presentar a los artistas en su individualidad y en lo que es inherente al arte, lo humanamente común de su sensibilidad creadora. Las obras cubren un lapso temporal extenso y un universo de referencias más extenso aún. En ellas intervienen múltiples impresiones y reflexiones que afiliadas –en mayor o menor medida a su contexto – en todos los casos lo superan, pues como arte al fin se escapa de todo encerramiento, se internacionaliza, se va y regresa. En justamente en esa cualidad que el arte refiere donde se sitúa el punto de encuentro que esta muestra propone, un lugar común más allá de escuelas, tendencias y estilos integradores , tampoco se trata de un tema o un motivo de selección. Artistas nacidos antes o después de la segunda mitad del siglo XX, obras posteriores y más recientes, de maestros, consagrados y noveles. Una exposición para apreciar lo que es propio a los artistas, sus imaginarios, viajeros todos en esta ocasión. Contrastan sin embargo los medios y los lenguajes. Una colección de grabados, con una variedad de técnicas, distingue la presencia catalana, entre ellos artistas emblemáticos del arte del pasado siglo, como Miró, Dalí y Tapies, expuestos en l´Intemporel junto a todos los otros que están allí. Ese rompimiento del aura de una historia del arte enfática sobre figuras y estilos que aporta este proyecto curatorial-expositivo, se diría un tributo para superar las distancias críticas entre los que aún no estaban cuando ellos ya eran y los que son ahora cuando ya ellos no están. Esa dimensión transgresora de los tiempos y los espacios, construye un discurso desjerarquizado y de mayor transversalidad en lo artístico, al poner en valor a los creadores de latitudes-otras, ya sean continentales europeas o insulares caribeñas, con quienes se resitúan los márgenes periféricos de una cartografía cultural hegemónica desde la que se escribió una Historia del Arte, también enfática y con mayúsculas. En su diversidad, la muestra es a la vez reveladora de un cambio de sensibilidad que se operó en lo artístico para abrir los caminos al arte contemporáneo después de la segunda mitad del pasado siglo, de la que Miró, Dalí y Tapies fueron fundadores y protagonistas. Tanto el surrealismo como la abstracción fueron esenciales a las nuevas orientaciones del arte en los centros del poder simbólico y en los espacios periféricos que revelaban un desfasaje histórico-artístico en sus procesos de creación, como ocurrió en las islas del Mar Caribe, bien que los artistas residieran en sus países de origen o en sus diásporas. Fue sobretodo el abstraccionismo, no de principios del siglo XX –que poco o casi nada interesó a los artistas caribeños por lo mismo antes indicado -, sino los efectos renovadores del arte povera e informalista, los que inauguraron un cambio de paradigma estético y de instrumental crítico-artístico, al poner en valor la máxima libertad de la subjetividad creadora en el manejo de los recursos plásticos. Un universo se abrió ante los artistas al comprender que la realidad podía ser creada más que representada y que el valor sensible de la superficie podía hacerla receptora de nuevas alternativas plásticas y comunicativas. El efecto fue de una amplitud enorme de posibilidades expresivas. El símbolo dominó el panorama creativo y lo más significativo fue su conversión en signo visual por el modo en que los referentes adquirían la connotación de atributos cargados de significados. La selección y la síntesis tuvieron carácter de operaciones intelectuales hacia una mayor conceptualización de la realidad como unidad de sentido. Todos estos recursos son bien evidentes en las obras que integran esta muestra, pues aun cuando la figuración se advierta presente, son significativas estas ganancias por la heterodoxia en el lenguaje artístico empleado y las libertades que inspiran el tropo visual. Se trató de un momento, inusitado y sin precedentes, de mayor interconectividad que pudiera identificarse como la internacionalización del arte, surgida de múltiples rupturas existenciales, de tiempos de cambio de sensibilidad y paradigmas, de crisis sucesivas, cuando se acortaban las distancias entre los territorios y la intensidad del ir y venir abría un nuevo panorama a la dimensión comunicativa de las sociedades. Sin embargo, el arte no se contraponía a la realidad ni se separaba de ella , simplemente se proponía crearla desde la cultura y la imaginación. Se trataba de un debate al interior mismo de la propia modernidad europea bajo el influjo de las corrientes artísticas provenientes de los Estados Unidos, que marcaron también sus influencias en las islas antillanas. La obra de arte se abrió a una mejor comprensión histórica del significado de lo abstracto, comprendido más como instrumental estético-artístico en el proceso constructivo de la obra, mientras que otras tendencias figurativas comenzaban a aparecer en la esfera internacional, en los sesenta y setenta, como el pop art y la nueva figuración, que harían también su parte en esas aperturas del lenguaje artístico a la contemporaneidad. Al ampliar la capacidad artísticas de todos los medios del lenguaje plástico y sus posibilidades expresivas, el arte interceptó zonas del mundo espiritual del creador que potenciaron aspectos desconocidos del hacer y del pensar las artes plásticas en el ámbito de una nueva cultura visual, como se revela en algunos focos de atención de los artistas antillanos que se muestran, sobre todo a partir de la espiritualidad caribeña y ciertos recursos d la intertextualidad. El universo de lo real abandonó su sentido de referencia y los artistas penetraron a zonas cada vez más introspectivas y aportaron todas las metáforas posibles al universo de la creación para hacer entrar lo visible y lo invisible, lo real y lo figurado. Con fuerza se muestra esa síntesis en las obras gráficas de los artistas catalanes. Un proceder común acerca estas obras distantes al punto de encuentro. Sus imaginarios viajeros traen consigo el acortamiento de las largas distancias entre Cataluña y París o más larga aun para las que atravesaron el Atlántico desde las Antillas. La espontaneidad del trazo, el espesor de los pigmentos, el tiempo de la obra como algo que vive en su interior, la propia autonomía de las imágenes, muestran campos de exploración para un estado de conciencia cultural en el que la ductilidad del lenguaje de los signos no solo ha depurado el lenguaje artístico por sintético y expresivo, sino que provoca impactos perceptivos en el espectador para revelar como lo real y lo imaginado desdibujan las fronteras de los territorios geográficos distantes para acercar los imaginarios artísticos a un punto de encuentro en l´Intemporel. Cojímar, 12 de julio de 2014 MIRÓ Joan « Hommage à Joan Prats » - Non daté Lithographie H.C -73,5 x 57 cm. DUVAL CARRIE Edouard « Tainted Couple » - Diptyque 2009 Technique mixte/toile cadre de l’artiste - 80x80 cm. DALÍ Salvador «One’s Identity»- 1979 - Lithographie – Ed : 6/125 - 37,5 x 55,5 cm. SERRA DE RIVERA, Xavier « Sans titre » - 1971 - Linoleum Ed : P/A - 39 x 32 cm. DUVAL CARRIE Edouard « Mutant» 2010- Technique mixte/toile cadre de l’artiste - 80x80 cm. PENA Rene « Tutu » De la série intitulé album. 2008 - Edition : 4/10 - 50x 60 cm. PAZOS, Carlos 2003 - Hommage a Ràfols Impression lenticulaire - Ed 25/75 56 x 38 cm. PENA Rene PENA Rene «Sans Titre » - 2009 Edition : 2/5 - 50X60 cm. PLENSA Jaume « Parental Love » - 2002 Monotype- Ed : 3/5 - 69 x 55 cm. PENA Rene « Sans Titre » – 2012 Edition : 1/10 – 50x60 cm « Martini » - 2011 Edition : 2/10 - 50x 60cm. VILAPUIG Oriol « Solide... » - 2008- Lithographie Ed : 24/30 - 51 x65 cm. OLAZABAL Santiago Rodriguez «La Force de la Hache» - 2009 Techniqur mixte/papier 100x80 cm. BARCELÓ Miquel « Sans titre » - Eau-forte Ed : 3/16 - 37,5 x 50 cm. OLAZABAL Santiago Rodriguez « Ebo Sobre Ebo » - 2007 – Technique mixte/papier – 106x73 cm. BAYONA Albert « La Vache » - 1998 - Gravure Ed : - 31,5 x 49cm JEAN Sébastien « Sans titre » – 2006 Acrylique/toile – 138x80cm. VILACASAS Joan « Planimétrie 60/4 » 1969 Eau-forte : Ed: - 57 x 77 cm. CLAVÉ Antoni «Le Roi» Non daté - Eau-forte et aquatinte- Ed : 19/25 - 24,5 x 16 cm. ARTIGAU Francesc « Quartier Gothique » - 1987- Eauforte : Ed : 45/50 56,5 x 76,5 cm. COLOMBA Elizabeth « Judith » - 2007 Huile/toile - 61x61cm. COLOMBA Elizabeth « Mary in the hall» - 2008 Huile/Toile – 91,5 x 61 cm. VILLÀ Miquel – « La fenêtre » - Non daté - Eau-forte et pointe sèche- Ed : 33/75 - 23,5 x 17,5 cm ANTONI ABAD (Lleidai, 1956) Sculpteur de formation, au fil temps il évolue vers la vidéo-art et les nouveaux médias. 1979 Etudes d’histoire de l’art à l’université de Barcelone. Puis la gravure à Cuenca, Londres et Pérugia (Italie.) 1980/90 Réalisation de sculptures mobiles souvent accompagnées de séquences photographiques. 1996 Participation au projet «MACBA en ligne» avec son œuvre Sísif, une vidéo-installation. 1999 Participation à la biennale de Venise. 2001/2003 Création de l’œuvre emblématique digitale Z, qui préfigure l’aspect interactif et collectif des réseaux. 2003 Il reçoit le prix de la ville de Barcelone pour la réalisation du projet Z, dans la catégorie multimédias. 2003/2004 Résidence au The Banff Centre for the Arts (Alberta, Canada.) 2004 Présentation de megafone.net, un projet pionnier dans l’usage des réseaux sociaux. 2006 Sa proposition Barcelone accessible, reçoit le Prix National des Arts Visuels du Gouvernement Catalan et le Golden Nica Digital Communities du festival Arts numériques, à Linz, (Autriche.) 2014 Le « MACBA « de Barcelone a dédie une exposition à ce phénomène, en réunissant une large documentation sur les 13 propositions qui composent le projet megafone.net. FREDERIC AMAT (Barcelone, 1952) Peintre de formation. 1970 Son travail pictural est expérimental et conceptuel, influencé par Antoni Tàpies et Joan Miró, Amat utilise les couleurs dans sa peinture dans un but expressif. 1986 Il travaille comme dessinateur de l’espace scénique, dans des spectacles de théâtre et danse. étudie le décor scénographique et l’architecture avec Fabià Puigserver. Puis entreprend des voyages en Afrique et Amérique du nord au cours desquels se révèle sa passion pour les arts scéniques. 2007 Il a reçu le Prix National des Arts Visuels décerné par le Gouvernement Catalan. FRANCESC ARTIGAU. (Barcelone, 1940) Peintre et graveur Il suit EINA de Barcelone. Diplômé de la faculté des Beaux Arts de l’Université de Barcelone pour le dessin. Il étudie les couleurs et les volumes, la peinture et d’autres techniques sous la direction avec Ràfols Casamada. 1965 Réalisation de ses premières expositions à la galerie Belarte de Barcelone. MIQUEL BARECELO Baléares, 1957, Peintre de formation, vit et travaille entre Paris, les Baléares et le Mali. 1973 Diplômé de l’école des Arts décoratifs de Palma de Majorque. 1974 Première exposition individuelle en 1974 à la galerie d’Art Picarol de Palma de Majorque. 1975 Rejoins l’école des Beaux Arts de Barcelone. Retour aux Baléares où il participe à un collectif conceptuel appelé Taller Llunàtic qu’il quittera en 1978. 1977 Après une première exposition à Barcelone, il commence à intégrer des matières organiques dans ses toiles, ce qui restera tout au long de sa carrière une technique privilégiée. 1978 L’influence de l’expressionisme abstrait nord Américain marque un tournant dans son œuvre. 1980 Il s’installe à Barcelone, rencontre Joan Miro et d’autres artistes Catalans, Cette époque marque pour Barcelo un changement stylistique important car il revient à la figuration et puis progressivement plus classique. 1982 Début de sa carrière internationale. Il est invité à la Documenta VII de Cassel où il se lie d’amitié avec JeanMichel Basquiat. Le centre d’art plastique contemporain de la ville de Bordeaux acquiert un bon nombre de ses œuvres. 1983 S’installe à Naples (Italie) Exposition à la galerie Yvon Lambert à Paris. Le Musée national d’art moderne de Paris acquiert sa toile Le Jugement de Salomon. 1984 Il investi comme atelier l’église Notre-Dame du Liban dans l’enceinte de l’Institut Curie de la rue d’Ulm pour peindre une série d’œuvres sur le Louvre. Réalise des expositions individuelles à Zurich, Madrid, Munich, Bordeaux. 1986 Exposition à l’institut d’art contemporain de Boston (USA) Réalisation de la coupole du vieux théâtre du marché de fleurs de Barcelone ; Exposition personnelle chez Leo Castelli, Le Musée de la Reine Sofía acquiert Big Spanish Dinner datant de 1985 et Barceló reçoit à trente ans le prestigieux Prix national des Arts plastiques d’Espagne. 1990 Il crée les costumes et les décors de la pièce Tréteaux de maitre Pierre de Manuel de Falla mis en scène par JeanLouis Martinoty, à l’Opéra comique. 1995 Une importante rétrospective lui est alors consacrée à Londres à galerie d’art de Whitechapel. Représente son pays à la Biennale de Venise. Réalise la première exposition de ses œuvres céramiques à la Galerie Leo Castelli de New York. 1996 Deux expositions institutionnelles intitulées : Impressions d’Afrique, lui sont consacrées simultanément à Paris au Musée national d’art moderne et à la Galerie nationale du Jeu de Paume 1998 le Musée d’art contemporain de Barcelone organise alors la plus importante rétrospective de ses œuvres (peintures, dessins, sculptures, céramiques.) 2000 Exposition de ses céramiques au Musée des Arts décoratifs de Paris. 2001 Commande d’État pour les décorations d’une chapelle de la Cathédrale de Palma de Majorque. 2003 Il exécute des dessins pour illustrer La Divine Comédie de Dante qui, donneront lieu a des expositions aux Baléares et au musée du Louvre. 2005 Expositions à New York, et au Mexique. 2007 L’inauguration de la chapelle de la cathédrale de Palma de Majorque. L’État espagnol lui confie la décoration de salle de conférence du Palais des Nations à Genève, notamment celle de son immense coupole de 1500 m2, que l’Espagne souhaite offrir en cadeau aux Nations unies. 2008 Inauguration de la salle de conférence par le roi d’Espagne. 2009 Il représente l’Espagne à la biennale de Venise. 2010 La ville d’Avignon lui consacre une importante exposition. ALBERT BAYONA (Lleida, 1954) 1959 1960 1961 1971 1975 1976 Dessinateur de formation, il suit les cours de Leandre Cristòfol et de Victor Perez -Pallares à l’École des Beaux-arts de Lleida. 1986 Il enseigne à l›École des Beaux-arts de Lleida. Il organise la programmation d’évènements artistiques. Exerce les fonctions de co-directeur de la Mostra de cinéma d›animation Animac à Lleida. 1995/2000 Il devient le directeur de l’école des Beaux Arts de Lleida. 2004 Exposition individuelle au Musée d’Art Jaume Morera. Lleida. Ses activités artistiques s’étendent à peinture, la photographie, la vidéo, la musique et les technologies numériques. Il a participé à des expositions, individuelles ou collectives, à Lleida, Barcelone, Taipei, Foix, Madrid, Frankfurt, ClermontFerrand, New York, Split, Goa, Paris ou Berlin, entre autres. 2008 Il reçoit le Prix Vasudha pour le meilleur court-métrage sur l›environnement à l›International Film Festival of India à Goa pour son œuvre Monday to Friday. 2010 Exposition Territori Lleida, Centre d’Art la Panera, Lleida. 2011 Exposition collective, Lumen au musée Extrremeno et Iberoamericano d’ art contemporain MEJAC, Badajoz 1978 1994 1982 1996 1986 1987 1993 1996 2003 2006 2007 Andreu. Il réalise des peintures de type gestuelles. Il participe avec le groupe Gallot à des actions collectives. Pendant une décennie sa démarche artistique le même à une simplification de la forme et de la couleur. Il participe à la création de la « Sala Tres « de l’Académie des Beaux-arts de Sabadell. Première exposition rétrospective de son œuvre au musée de Sabadell. Participe à l’exposition Peinture I à la la Fondation Miró de Barcelone. Exposition personnelle à l’Espace 10 de la Fondation Miró. Exposition collective au centre Pompidou avec 10 autres artistes catalans. Expositions internationales avec la galerie joan Prats de Barcelone. Réalisation de trois scénographies pour le Théâtre Estable à Sabadell. Professeur de peinture à l’école d’art Illa de Sabadell. Création d’une œuvre pour le théâtre La Farandula et un projet pour laplace publique de Sabadell. Réalise sa première exposition personnelle à Paris. Réalise en 1993 avec Joan Brossa le livre Trasllat. Organisation de l’exposition itinérante Alfons Borrell o el aura de la pintura. Participation à l’exposition présentée pour le 25ème anniversaire de la Fondation Miró. Inauguration de l’exposition rétrospective Alfons Borrell o la celebración del color au Centre Culturel de L’Hospitalet (Barcelone) Présentation de la même exposition au musée de Sabadell. ALBERT RAFOLS CASMADA (Barcelone, 1923) ERWIN BECHTOLD (Allemagne 1925) Peintre et architecte d’intérieur de formation. 1950 S’installe à Barcelone, rentre en contact avec les membres du groupe Dau al Set et les ceux du groupe de Madrid El Paso. 1966 Apparaissent les premiers indices géométriques sur ses toiles et née la série Finger singer. 1968 Participe à la documenta de Cassel. 1974 Il réalise ses séries marge-pertorbation de la forme basique. 1987 Angle/ Surface /Espace, sa thématique de prédilection se poursuit jusque de nos jours. 1988 Création des quatre façades du musée Reiis-Engelhorn à Mannheim, (Allemagne) ALFONS BORELL (Barcelone, 1931) 1953 1955 1957 Fréquente l’école des Beaux-arts de Sant Jordi Barcelone. Sa peinture figurative, évolue vers l’expressionnisme abstrait. Il participe avec Joaquim Montserrat, à la création de la section d’art contemporain de l’Académie des Beaux-arts de Sabadell. Collabore à la revue « Riutort « dirigée à Sabadell par Peintre et dessinateur de formation. 1944 Etudes d’architecture à l’université de Barcelone. 1948 Se consacre à la peinture. 1946 Première exposition collective à la Sala Pictoria de Barcelone. 1947 Exposition personnelle à la Sala Pictoria de Barcelone ; 1954 Après avoir reçu une bourse du gouvernement français il poursuit ses études à Paris. 1960 Retour à Barcelone. 1963 Expositions individuelles aux Musée d’art contemporain de Barcelone. 1962 Il enseigne le design et l’art à l’école d’Elisava. 1967 Création de l’école Eina avec un groupe d’intellectuels et d’artistes. 1984 Direction de l’école Eina. D’importantes expositions lui ont été consacrées à travers l’Europe, en Amérique du sud et du nord. 2001 Musée d’Art contemporain de Barcelone, et à l’Institut d’ Art Moderne de la ville de Valence. 2009 Le Musée national d’Art catalan rend hommage à son œuvre. ANTONI CLAVE (Barcelone, 1913 – 2005 Saint Tropez France) Ouvrier dans le bâtiment de formation. 1930 Il suit à l’école des Beaux Arts de Barcelone pendant deux ans. Contraint de quitter l’Espagne pendant la guerre civile il se réfugie en France. A Paris il devient décorateur de théâtre et illustrateur. 1941 Installe son premier atelier. 1944 Rencontre avec Picasso. 1950 Travaille avec Roland Petit. 1954 Décide d’arrêter la décoration. 1965 Quitte Paris pour St Tropez. 1977 Il expose ses premiers trompe l’œil. 1978 Le Musée national d’Art moderne de la ville de Paris lui consacra une rétrospective. 1984 Biennale de Venise, le pavillon espagnol présente plus cent de ses œuvres. Exposition César/ Clavé à Montelimar. ELIZABETH COLOMBA Née à Paris, France, vit et travaille entre New York et Paris. Etudes 1997 1994 Ecole Estienne, école supérieure des Arts et industries, Paris. France Ecole des Arts appliqués Auguste Renoir, Paris, France. EXPOSITIONS PERSONNELLES, SOLO SHOWS (Sélection) 2008 Balthus foundation, Rossinière Suisse. Galerie L’Art à la Source, Lausanne, Suisse. 2006 See Line Gallery, Santa Monica, CA. USA. EXPOSITIONS COLLECTIVES, GROUP SHOWS (Sélection) 2010 Galerie Bon vivant, Philadelphie, PA. USA MoCADA museum, Brooklyn, NY. USA Deutsche bank, 60 Wall gallery, NY, NY. USA 2011 Rush art gallery, NY, NY. USA CCCADI, NY, NY. USA Picture that Gallery, Connecticut, NY. USA Broadway Gallery, NY, NY. USA Skylight Gallery, Brooklyn, NY. USA Rush art gallery, Brooklyn, NY. USA 2012 Jenkins Johnson gallery, NY, NY. USA Jenkins Johnson gallery, San Francisco – CA 2013 A journey from Paris to New York, Galerie Intemporel. NY. 2014 Point de rencontre pour imaginaires voyageurs. Galerie Intemporel, Paris SALVADOR DALI (FIGUERIAS 1904 –1989) Peintre sculpteur et scénariste. 1918 A quatorze ans, première une exposition collective au Théâtre municipal de Figueras. 1922 Il entre à l’École des beaux-arts de Madrid. 1925 Il est exclu de l’école pendant un an pour indiscipline. Breton constitue le premier groupe surréaliste parisien avec Picabia, Max Ernst et Man Ray. Première exposition personnelle à la Galerie Dalmau de Barcelone, Picasso et Miro commencent à s’intéresser à ses travaux. 1927 Création de ses œuvres le grand Masturbateur- Sex Appeal, qui feront de lui le plus grand représentant du surréalisme. 1930 Il travaille à son oeuvre L’homme invisible, qu’il laissera inachevée. écrit, illustre et publie La femme Visible. La revue Le surréalisme au service de la révolution, publie Rêverie, un des textes les plus importants de Dali. Exposition à la galerie de Goemans de Paris sous le parrainage de Breton. 1931 Deuxième exposition parisienne où est présenté son tableau le plus célèbre, La Persistance de la Mémoire. 1932 Première exposition surréaliste à Hartford, Etats-Unis. Il publie L’âne pourri, dans lequel il pose les bases de sa méthode paranoïaque-critique. 1934 Six expositions à Paris, à New York à Londres et à Barcelone. 1936 Guerre civile éclata d’Espagne. Dali avait anticipé le conflit dans Prémonition de la guerre civile, et peu après il peignit Cannibalisme d’automne. Il fuit la guerre et s’installe en Italie. 1938 Rend visite à Freud à Londres et fait son portrait. 1939 Exposition à la Julien Levy Gallery de New York. Présentation du premier ballet paranoïaque au Metropolitan Opera House, la musique est composée par Richard Wagner et les décors sont de Dali 1945 La période américaine de Dali fut des plus active; Il y écrit La vie secrète de Salvador Dalí et travaille pour le cinéma, le théâtre, l’opéra et le ballet. Des années quarante datent des œuvres aussi importantes que Autoportrait mou avec lard grillé, Corbeille de pain. En collaboration avec le Duc de Verdura, Dali réalise ses premiers bijoux, inspirés de ses souvenirs nostalgiques de la Renaissance. C’est ainsi qu’il crée une broche en or avec émeraude et alexandrite le Cygne de Léda , puis à l’aide d’une pépite d’or de rubis et diamants,VCémeraude il crée Le Coeur royal , puis l’Oeil du temps et une montre en or l’Eléphant Spatial. 1942 il réalise pour la Koehler Gallery de nombreux portraits de personnalités américaines. A noter également son activité intense dans le domaine du théâtre. 1945 Marque le début de la période Nucléaire ou Atomique de Dali. Il travaille à des projets de films d’animation avec Walt Disney. 1948 L’élément religieux fait irruption dans l’oeuvre du peintre. 1958 Dali étudie à fond les peintres du passé (en particulier l’oeuvre de Velasquez). Il se lance aussi dans l’art optique, recherchant sans trêve des effets et des illusions d’optique. 1963 Le mythe tragique de L’Angélus de Millet est publié trente ans après que Dali l’ait achevé. Présentation à Tokyo d’une grande rétrospective de Dali. Puis il se relance dans la publicité en réalisant des affiches publicitaires pour Perrier sur le thème de la soif, et pour les chocolats Lanvin. 1972 Présentation d’une exposition d’hologrammes à New York. 1973 La Knoedler Gallery ouvre une salle holographique dalinienne à New York. 1974 A lieu l’inauguration du Teatro Museo Dali. 1975 Nait sa passion pour l’art stéréoscopique. EDOUARD DUVAL CARRIE Né en 1954 en Haïti. EXPOSITIONS PERSONNELLES SOLO SHOWS (Sélection) 2014 Imagined Landscape Perez Museum, Miami, FL. 2012 The Three Dimensional Gods and Goddesses Meet Their Cousins The Trees, Bernice Steinbaum Gallery, Miami, FL 2010 Edouard Duval Carrié: My life as a Tree, Cynergi , Miami Fl. 2009 Arts in the Garden, Miami Beach Botanical Gardens, Miami Beach, FL. Roots & More, Afrika Museum, Berg en Dal, Hollande. 2008 Continental Shifts: The Art of Edouard Duval Carrie, MOCA Jacksonville, FL. Life in North Caribbean, Lyle O. Rytzel Gallery, Santo Domingo, République Dominicaine EXPOSITIONS COLLECTIVES, GROUP SHOWS (Sélection) 2014 Point de rencontre pour imaginaires voyageurs. Galerie Intemporel, Paris 2013 In Extermis, Museé de la civilisation, Québec City, Québec (Canada.) 2012 Keeping Haiti In Our Hearts: Intrepreting Heritage in the Diaspora, The Alice & Williams Jenkins Gallery and Hannibal Square Heritage Center Gallery, Creadle School of Art Caribbean: Art at the Crossroads of the World, The Studio Museum of Harlem, NYC, NY; Queens Museum of Art, NYC, NY 2011 Haiti Royaume de ce Monde, Galerie Agnes B., Paris, France. First Haitian Pavillion at 54th Venice Biennale, Palazzo Stamplia Querini. Italie 2010 Base Paint, EPIC; Frost Art Museum; and Florida International University in Miami, Fl. Global Caribbean II: Caribbean Trilogy-Focus on the Greater Antilles, Little Haiti Cultural Center, Miami, Fl. 2009 Global Caribbean I: Focus on the Global Caribbean Landscape, Little Haiti Cultural Center, Miami, Fl., MIAM, Sete, France; Museo de Arte Contemporaneo, San Juan, Puerto Rico. 2008 Pieces of the Whole, Kohler Arts Center, Sheboygan, Wisconsin. 2007 In Your Face, Bernice Steinbaum Gallery, Miami, Fl. 2004 Art Basel, Miami, Floride, USA. Galerie Bernice Steinbaum. COLLECTIONS PUBLIQUES Musée D’Art Davenport Davenport, Iowa. USA. Musée d’Art de Miami Miami, Floride, USA. Musée des Art Africains et Oceaniens, Paris, France. Musée du Pantheon National Haitien, Port-au-Prince, Haiti. Musée d Art Contemporain de Monterrey (MARCO), Monterrey, Mexico. Institut d’Art de Detroit, Detroit, Michigan, USA. Collège pour les ressources Humaines, New York, New York, USA. Polk Museum of Art, Lakeland, Florida. USA. Musée du collège St Pierre, Port-au-Prince, Haiti. Frost Art Museum, Miami, Florida. USA Musée d’Art de Fort Lauderdale , Fort Lauderdale Florida. Lowe Art Museum, Miami Florida EXPOSITIONS PERSONNELLES, SOLO SHOWS (Sélection) : 2001 Exposition au château de Gargilesse. Avec la galerie Intemporel 2000 Inauguration du Trophée de l’entraîneur de l’année, Galerie Intemporel, Paris Galerie Intemporel, Paris, dans le cadre de la programmation du Centre Wallonie Bruxelles pour la francophonie. Exposition au Logis des trois marchands, Bonneval, avec la galerie Intemporel. 1999 En emboîtant le pas (installation), galerie Intemporel Habitation Clément, Martinique. Centre culturel de Bobigny. Avec la galerie Intemporel 1998 Performance pour l’inauguration des nouveaux locaux de la galerie Intemporel, Paris EXPOSITIONS COLLECTIVES, GROUP SHOWS (Sélection) : 2014«Point de rencontre pour imaginaires voyageurs.» Galerie Intemporel, Paris 2013 « A journey From Paris to New York «, 330 West and 108st, New York, USA avec la galerie Intemporel. 2010 « Ten is one «, Design Distict, Miami Florida, USA. Avec la galerie Intemporel 2008 Embrace, Murson Murer Gallery, Atlanta, USA. National Black Fine Art Show, NY, USA. 2007 National Black Fine Art Show, NY, USA. Avec la galerie Intemporel. Présence Africaine, Migrations culturelles, Bordeaux Présence Africaine, galerie Heart, Paris, France Embrace, Murson Murer Gallery, Atlanta, USA. 2006 National Black Fine Art Show, NY, USA. ŒUVRES MONUMENTALES 2005 Création d’un monument à la ville de SARCELLE en France pour célébrer l’abolition de l’esclavage 2001 Création d’un monument pour la ville de Schoelcher, Martinique 2000 Mémorial à SCHOELCHER, “L’arbre de la liberté”, Martinique 1999 peinture murale pour le hall de l’entreprise FIRS, Paris, 1992 Creation de la Grotte des Caraïbes au Musée de l’Homme, Paris, France 1988 Laureat pour un mémorial pour les relations Nord-Sud, St Nazaire, France Mémorial à Aimé Césaire au festival d’Avignon, France Mosaïque pour le ministère DOM – TOM, Paris, France 1987 Fresque, Rancia Valcuoi a, Italie. 1984 Sculpture sonore, Montrey, Suisse COLLECTIONS PUBLIQUES : Ministère de L’Outre – Mer, Paris. France. Firs, Paris, France Conseil régional, Martinique. COLLECTIONS PRIVEES : Fondation Clément, Martinique. Collection, Danielle et François Mitterrand. Collection galerie Intemporel, Paris, France. SEBASTIEN JEAN (Haiti, 1980) HENRI GUEDON Né le 22 Mai 1944 en Martinique, décédé en 2006 à Paris. Il a vécu et travaillé à Paris à partir de 1964. Formation : Fréquente le milieu de l’art et progresse au contact des artistes. Designer pour les costumes des reines de Carnaval. Voyages en France qui lui permet de découvrir le monde de l’art parisien EXPOSITIONS PERSONNELLES. SOLO SHOWS 2006 Il expose pour la première fois ses œuvres peintes à l’Institut Français de Port au Prince. Exposition au Centre d’art de Jacmel, Haîti. 2009 Exposition individuelle, Institut français d’Haïti. Mario Benjamin, commissaire 2011 « Le regard du Loa « à la galerie Egrégore à Marmande 2004 EXPOSITIONS COLLECTIVES, GROUP SHOWS 2010 Duo avec Manuel Mathieu. « Saint-Soleil – Malraux «, Galerie Monnin Pétionville. « Arte America «, Miami en Floride avec la galerie Marassa. « Vibrations Caraïbe «, au Musée du Montparnasse à Paris. 2011 « Haïti Royaume de ce monde «, Hommage à Basquiat et à Edouard Glissant, Fondation Agnès B. Paris. « Transe figuration « en duo avec le plasticien Guyodo aux Ateliers Jérôme à Port au Prince, Haïti. Art Fair Gallery, New York avec la Galerie Bourbon Lally. “ Rituels et imaginaires de la Caraïbe “, Martinique 2012 “ Terra “ festival Guadeloupe Salon d’Art Contemporain Art3f Mulhouse avec la Galerie Agwe Workshop avec école d’art de la Martinique l’IRAVM. Résidence Artocarpe au Moule en Guadeloupe. 2006 2005 2007 2008 : Variaciones en Espagne photographie et Art 1900 - 1980 Centre Atlantique d’ Art moderne (CAAM), Las Palmas de Gran Canaria, Canaries. Photographie et art. Variations in Spain 1900-1980 - MARCO musée d’ art Contemporain de Vigo, Vigo. El Arte Sucede - Origine des pratiques conceptuelles en Espagne(1965-1980) - Musée National Centre d’ Art de Reina Sofía MNCARS, Madrid 7351 Días , Galerie Alejandro Sales, Barcelone. Exposition collective des artistes de la galerie Toni Tàpies, Barcelone. La vida privada, Collection Josep Civit CDAN, Centro de Arte y Naturaleza Fondation Beulas, Huesca. MACBA im Frankfurter Kunstverein - Frankfurter Kunstverein, Francfort The Recognitions - The Fireplace Project, East Hampton, NY Antoni Llena, Bojan Sarcevic - Bortolami, à la galerie Thilo Heinzmann, New York La collection creix à la Fondation Palau, Caldes d’Estrac . MIQUEL ANNA (Barcelone,1949) ANTONI LLENA (Barcelone, 1943) Depuis 1988elle enseigne à la faculté des Beaux Arts de Sant Jordi de Barcelone. Elle a participé à de nombreuses expositions nationales et internationales. Elle a reçu de nombreux prix pour son travail cinématographique, pour ses films en super 8 et 35 mn, ainsi que pour ses films d’animations. Actuellement elle poursuit sa carrière cinématographique dans le domaine du cinéma expérimentale. Peintre dont le travail se conceptualise et s’associe à l’Arte Povera. 1969 En collaboration avec d’autres artistes espagnols, il réalise «Primera mort», la première vidéo artistique faite en Espagne. Il enseigne la littérature artistique à l’Université de Gérone il dirige des ateliers d’art à la School of Visual Arts de New York et également à l’école Eina de Barcelone. 1970 Importante production d’œuvres sur papier. EXPOSITIONS PERSONNELLES, SOLO SHOWS 1969 Exposition à la Galerie Joan Prats (diversas) Exposition à la Petite Galerie, Lérida 1989 Fondation Joan Miró, Barcelona 1992 David y Goliat, à la place de los Voluntarios au village Olympique, Barcelone. 1997 Preposicions, Galerie Toni Tàpies, Barcelone. 1999 Fantasmes Públics i Privats, Galerie Toni Tàpies, Barcelone. 2001 Fantasmes Públics i Privats, Galerie Toni Tàpies, Barcelone. 2002 Exposition Preferiría no hacerlo, à edificio Novísimo del Ayuntamiento de Barcelone. 2003 Fantasmes Públics i Privats, Galerie Toni Tàpies, Barcelone. 2004 Mundo, en la calle Villarroel con Buenos Aires, Barcelone 2005 La pintura como experiencia, Patio Herreriano, musée d’ Art Contemporain Espagnol, Valladolid. 2006 Fantasmes Públics i Privats, Galerie Toni Tàpies, Barcelone. 2014 Exposition itinérante, Antoni Llena. SOS: senyals de fum des d’un subsòl. 2012 Homenaje a los castellers, à place de Sant Miquel de Barcelona. EXPOSITIONS COLLECTIVES, GROUP SHOWS 1997 Papierskulptur, Landesgalerie am Oberösterreichischen Landesmuseum, Linz ; Autriche. 2003 Cuatro dimensiones, Patio Herreriano, - musée d’art contemporaine espagnol, Valladolid IBRAHIM MIRANDA Né en 1969, à Pinar del Rio, Cuba. EXPOSITIONS PERSONNELLES. SOLO SHOW (Sélection) 2014 Diarios de una Isla, Diana Lowenstein Gallery, Miami, USA. Chaos & Identity. Floating Island, bipersonal with Angel Ramirez, Lowe Gallery,Multicultural Arts Center, Maryland, USA. 2013 Reminiscence of the Island, the Map Series of Ibrahim Miranda, ChiWen Gallery, Taipei, Taiwan. 2012 Two citizens of Utopia (bipersonal with Douglas Pérez), 8th Floor Gallery, New York, US. 2011 Ibrahim Miranda Mapaglifos Karttaglyfejä, Harmonia Gallery, Jyvaskyla, Finland. Ibrahim Miranda and Hannu Lindholm’s, Hyvinkää Art Museum, Finland. Mapaglifos. serigrafías of Ibrahim Miranda (Bipersonal with (Paula Almozara Gravura Brasileira Gallery, Sao Paulo, Brésil. EXPOSITIONS COLLECTIVES , GROUP SHOWS (Sélection) 2014 Point de rencontre pour Imaginaires Voyageurs, galerie Intemporel, Paris. Miradas, Factoría Habana, Celebration du trentième Anniversaire de la Biennale de La Havane, La Havane, Cuba. Collection and Discoveries in Art, Carriage Barn Arts Center, New Canaan, USA. 2013 African Roots, Cuban Art Space, New York, USA. DI CARTA/PAPERMADE, International biennial exhibit of paper made artworks, Palazzo Fogazzaro, Schio (VI), Italy. A Journey From Paris to New York, Galerie Intemporel, New 2012 2010 York, USA. North of Modern, Florida Mining Gallery, Art Basel, USA. Cuba Contemporaine, Centre Culturel Le Manoir, Genève, Suisse. Tennis Table Art, Enlace Gallery, Pérou. Dreams and Realities: Visions from Taiwan and Cuba of a Post Cold-War. World, Art Basel Hong Kong, Chi Wen Gallery from Taipei. Art Basel, Graphistudio Tampa, USA. Pinta NY Art Fair, Gallery MagnanMetz, USA. Ten is one, Galerie Intemporel, Design District ; Miami FL, USA From there to Here Bridges, Southerns Graphic Council International. Conference, San Francisco, USA COLLECTIONS (Sélection) Musée des Beaux Arts de la Havane, Cuba Moma, New York, USA. Thyssen, Bornemisza, Fondation d’Art contemporain, Anit, Autriche. Musée de la gravure de Curitiba, Brésil. Van Reeckum Museum, Hollande. Musée de la xylographie, Buenos Aires, Argentine. Musée de Fort Lauderdale, Floride, USA Musée Perez de Miami, FL. USA JOAN MIRO (Barcelone, 1893 - 1983 Palma de Majorque) 1956 1960 1961 1965 1968 1969 1972 1974 Peintre, sculpteur, céramiste. Il est le plus l’artiste le plus important du mouvement surréaliste. 1930 Départ pour Paris Exposition à la galerie Pierre de ses sculptures-objets Réalisation de sa première exposition individuelle à New York, avec des peintures des années 1926-1929 1931 Expositions à la galerie Pierre de ses sculptures-objets. 1932 Réalisation des décors, vêtements et objets pour le ballet de Léonide Massine Jeux d’Enfants, qui connaîtra un grand succès et sera joué Paris, à New York, à Londres et à Barcelone. Il participe avec le groupe surréaliste au Salon des Surindépendants. Présentation d’une exposition à la galerie Pierre Matisse. 1933 Ses peintures d’après collages sont l’objet d’une importante exposition à Paris. 1936 Exposition à Paris. 1937 Présentation de sa sculpture El Segador, lors de l’ Exposition Internationale de Paris. 1939 il séjourne à Varangéville où il y retrouve Raymond Queneau, Braque et Calder. Lorsque l’Allemagne nazie envahit la France, il retourne en l’Espagne, et s’y installe, d’abord à Mont-roig, puis à Palma de Majorque et enfin à Barcelone de 1942 à 1944. 1941 Première exposition rétrospective au musée d’art moderne de New York. 1943 Le galeriste Joan Prats lui passe commande d’une série de cinquante lithographies réunies sous le titre Barcelona. 1946 Acquisition de sa peinture La course de Taureaux par le musée national de la ville de Paris. En 1947 l’artiste se rend durant huit mois à New York où il travaille un certain temps à l’atelier 17, dirigé par Hayter. Il y exécute une première peinture murale, qui sera suivi d’autres tout au long de sa carrière. 1947 La galerie Maeght organise à Paris les expositions importantes de ses œuvres. 1954 Le Prix de la Gravure lui est décerné lors de la la Biennale de 1981 1982 1983 Venise, aux côtés de Max Ernst et de Jean Arp. Présentation de 232 œuvres céramiques à la galerie Maeght de Paris puis à la galerie Pierre Matisse de New York. Il reçoit la commande de deux murs de céramiques pour le siège de l’UNESCO à Paris. Ceux-ci mesurent respectivement 3 × 15 mètres et 3 × 7,5 mètres et sont inaugurés en 1958. La fondation Guggenheim lui décerne son prix le plus prestigieux. Durant son séjour à New York, il réalise une peinture murale de 3 × 10 mètres pour le restaurant de l’hôtel Cincinnati Terrace Hilton. Dès le début des années 1960, Miró participe activement au grand projet d’Aimé et de Marguerite Maeght qui ont établi leur fondation à Saint-Paul-de-Vence. Un espace particulier est réservé à Miró. Il collabore avec Josep et Joan Artigas à la réalisation des céramiques, et avec Sert à la conception de l’ensemble Miró a d’abord conçu des maquettes qui ont été ensuite réalisées en ciment, en marbre, en fer, en bronze et en céramique. De cet ensemble de sculptures, La Fourche et Le Disque comptent parmi les importantes. La première est réalisée en 1963 (Bronze, 507 x 455 x 9 cm) et la seconde en 1973 (céramique, 310 cm de diamètre). Marque une étape particulière dans la production du peintre, avec la réalisation de triptyques dont l’un des plus célèbres est le Bleus conservé dans son intégralité au Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou depuis 1993. Il crée une importante production de sculptures pour le Fondation Maeght. Présentation à Barcelone de la première grande exposition du Maître. Plusieurs personnalités de l’art sont en faveur de la création de la Fondation Miro dans la ville L’ouverture a lieu le 10 juin 1975. Exposition de ses gravures Œuvres gravées et lithographiées « à la galerie Gérald Crame de Genève. Exposition rétrospective de ses œuvres graphiques au Norton Simon Museum (Californie). Exposition de ses sculptures au Walker Art Center de Minneapolis, au Cleveland Museum of Art et à l’Art Institute of Chicago. Les Galeries Nationales du Grand Palais de Paris organisent une grande exposition rétrospective pour son 80e anniversaire. Miró inaugure à Chicago une sculpture monumentale de 12 mètres connue sous le nom de Miss Chicago. Deux autres bronzes sont installés dans la ville de Palma de Mallorque. La ville de Houston dévoile Personnage et oiseau. En collaboration avec Joan Gardy Artigas, l’artiste réalise sa dernière sculpture qui est destinée à la ville de Barcelone. l’œuvre de 22 mètres de haut représente une forme oblongue surmontée d’un cylindre évidé et d’une demilune. L’extérieur est couvert de céramique dans les tons les plus classiques de l’artiste : le rouge, le jaune, le vert et le bleu. Les céramiques forment des mosaïques. ARTURO MONTOTO ECHEVARRÍA Né en 1953 à Pinar del Río, Cuba. Peintre, dessinateur, graveur, sculpteur, muraliste et photographe. Membre de l’Union des Ecrivains et Artistes de Cuba (UNEAC). Membre de l’Atelier Expérimental d’art graphique de La Havane. ETUDES : 1968-1972 Ecole d’Art de Pinar del Río 1973-1977 Ecole Nationale d’Art de La Havane 1977 Passage par l’Institut Supérieur d’Art de La Havane 1978 Obtient une bourse pour étudier à l’Institut Etatique d’Art « V. I. Sùrikov « à Moscou. 1978-1984 Institut Etatique d’Art « V. I. Sùrikov «, Moscou. Obtention du Master of fine Arts dans la spécialité Peinture Murale. EXPOSITIONS PERSONNELLES (sélection): 2011 Jardines Invisibles, Gallery of the Cervantes Berlin Institute, Allemagne. 2010 Acqua, Galerie Intemporel, Paris. 2009 El jardín de Epicurio, Galerie El reino de este mundo, Bibliothèque nationale de Cuba. 2008 Tierra de Aguas, Musée historique Municipal de Guanabacoa, La Havane, Cuba. Conversacion en el huerto, Galerie Villa Manuela, UNEAC, La Havane, Cuba. 2007 Agua y Metal, aquarelles et sculptures, Galerie La Acacia, La Havane, Cuba. EXPOSITIONS COLLECTIVES , GROUP SHOWS (sélection) 2014Point de Rencontre pour Imaginaires Voyageurs, galerie Intemporel, Paris France 2012 Bola Viva, ministères de la culture de Barranquilla, Cartagena, Montería y Santa Marta, Colombie. La nature morte. Collection du Musée National des Beaux Arts, Musée National des Beaux Arts La Havane, Cuba. 2010 Ten is One, Design District, galerie Intemporel, Miami FL., USA. Exposition de art cuban. 17 artistes cubains, Gran Meliá Shanghai, Shanghai, China. 2009 Este hombre es mi amigo. 120ème anniversaire de l’âge d’Or, Mémorial José Martí, La Havane, Cuba. Nueve contemporáneos cubanos à Art Shanghai 2009, Musée Bibliothèque “Servando Cabrera Moreno”, La Havane, Cuba. La Habana, 490 años en el imaginario de los creadores, Rutas y Andares, Centre Hispano-américain de la Culture, La Havane, Cuba Paisaje a la vista, Musée d’Art colonial, La Vieille Havane, Cuba. RestaurArte, en parallèle à la 10ème Biennale de La Havane, san Pedro y Baratillo, La Havane, Cuba. Crisis (Las banderas), ExpoCuba Pavillon 23, La Havane, Cuba. Pura Coincidencia (los abstractos), ExpoCuba Pavillon 24, La Havane, Cuba. Todos Estrellas, en parallèle avec la 10ème biennale de La Havane, Galerie Hotel Cohiba, FCBC, La Havane, Cuba. Retrátese con arte, en parallèle avec la 10éme biennale de La Havane, Casa de la FEU de la Universidad de La Habana, La Havane, Cuba. Paisajes, en parallèle avec la 10éme biennale de La Havane, Salon solidaridad, Hotel Habana Libre, La Havane, Cuba. Trazos hacia el desarollo. Artistes cubains interprétant les ODM, Nations Unis à Cuba, Galerie El reino de este mundo, Bibliothèque Nationale José Martí, La Havane, Cuba. COLLECTIONS : Musée de Fort Lauderdale, Southern University, FL. , USA Musée d’Art Latino-american (MoLAA), Long Beach, California, USA Musée de luniversité de Virginie , USA. Lowe Art Museum, Université de Miami, FL, USA Musée of Vatican, Italy. Antigua Aduana, Barranquilla , Colombie. Musée Emilio Bacardí, Santiago de Cuba, Cuba Centre d’Art contemporain Wifredo Lam, La Havane, Cuba. (MAPRI), Musée d’art de Pinar del Rio, Cuba. Musée National des Beaux Arts, La Havane, Cuba. Musée de la Basilique du Covent de Saint François d’Assise, La Havane, Cuba. PROA foundation, Buenos Aires, Argentina. Spanish-American friendship Society, French Guyana. . SANTIAGO RODRIGUEZ OLAZABAL Né en 1955 à La Havane, Cuba. EXPOSITIONS PERSONNELLES, SOLO SHOWS (Sélection) 2014« Como un Barco en el Oceno“. Galeria Saro León. Las Palmas de Gran Canaria. Espagne 2012 «Guemilere”. Rainhart Gallery. Bruxelles. Belgique. “Permanecer en LaTierra”. Colateral 11na Bienal de La Habana. Pabellón 2011 “OLAZABAL”. Panamerican Art Projects. Miami. USA. El Orisa personal, Galerie Villa Manuela, La Havane, Cuba 2008 Aeora El Ara Siega : Galerie Pinar Del Rio, Cuba 2005 Onile, Musée National des Beaux Arts. La Havana. Cuba Ewe-Tete. galeríe La Casona. La Havana. Cuba. La tercera puerta, Centre d’Art Et Naturaleza. Madrid. Espagne. 2003Scope Miami Art Fair Hotel Townhouse, Miami, Etats-Unis avec les Galeries Intemporel et Bourbon Lally. 2002 De l´image jaillit la parole, galerie Intemporel. Paris, France. EXPOSITIONS COLLECTIVES, GROUP SHOW (Sélection) 2014 Point de Rencontre pour Imaginaire Voyageurs, Galerie Intemporel, Paris. Without Masks. Contemporary Afrocuban Art.The Von Christierson Collection. Watch Hill Foundation. Museum of Anthropology of the University of British Columbia, Vancouver, Canada. 2013 A Journey From Paris to New York. Galerie Intemporel. New York. USA. African Roots. Center for Cuban Studies. New York. USA. Cuando eL Mundo se hace plano. Centro Atlántico de Arte Moderno. CAAM. Las Palmas de Gran Canarias. Espagne. 2012 Cuban Art work with extraodinary Life. Artfulling Uniting Extrordinary. BNP. PARIBAS. FORTIS. Bruxelles. Belgique. 2011 Los Angeles Art Show 2011. Los Angeles Convention Center. California. USA. Galerie La Casona. Ajiaco. Espiritulidad en el Arte Cubano. Newark Museum, Newark, New Jersey. USA. Pinta Londres. Earls Court Exhibition Centre. Londres. Angleterre Galeríe Pan American Art Projects. Pinta. The Modern & Contemporary Latin American Art Show. Booth A06/B05. Cuban Art Projects. New York. USA. 2010 « Ten is One «, Galerie Intemporel, Design Distric, Miami , FL. USA “ Arte´10 EDP. Biennale du Portugal « Pavilháo de Portugal, Lisbonne . Portugal. “ Polaridad Complementaria”. RECENT ART FROM CUBA. Chicago Cultural Center, IL. “Hot Art Basel”. Galeríe La Casona. Suisse. “Alicia Alonso Dances Here Tonight” MagnanMetz Gallery, Chelsea, New York. USA. COLLECTIONS (Sélection) Collection Skandar Maleki, Londres, Angleterre. Fondation Von Christiers, Londres, Angleterre. Tate Modern Museum, collection Amérique latine, Londres, Angleterre. Afrika Museum. Berg en Dal, Nijmegen. Hollande. Musée graphique Stifftun; Schreiner.Bad Steben, Allemagne Galerie Intemporel, Paris France. Musée national des Beaux Arts, La Havane, Cuba. Centre W. Lam, La Havane, Cuba. Daro. Alesco AG, Collection Amérique latine d’Art contemporain et d’éducation, Zurich, Suisse. Conseil Regional de La Martinique. Pan American Art Project Miami Rainhart Gallery, Bruxelles, Belgique. El Teatro Del Arte. Colección La Caixa - CAB Centro de Arte Caja Burgos, Burgos. Contra Tapies, Fundación Antoni Tàpies, Barcelone. René DE JESÚS Peña GONZÁLEZ Né en 1957, à la Havane, Cuba. CARLOS PAZOS (Barcelone, 1949) Etudes d’architecture et de design à l’école Eina de Barcelone. EXPOSITIONS PERSONELLES, SOLO SHOWS 1969 Première exposition à la salle de l’Ateneu de Barcelone. 1978 Il réalise sa performance The Floor of Fame au Centre Pompidou de Paris. 1994 Carlos Pazos. For CP fans only, Salle Parpallo, Valence 2007 CARLOS PAZOS. No me digas nada, musée national, centre d’ Art Reina Sofía, Madrid. 2008 A-COMODOS-PAZOS, Galerie Vanguardia, Bilbao 2009 Carlos Pazos, Raina Lupa, Barcelona. 2011 Carlos Pazos, musée Empordà, Figueras EXPOSITIONS COLLECTIVES, GROUP SHOWS 2007 La vida privada , Coleccion Josep Civit - CDAN – Centro de Art y Naturaleza - Fundación Beulas, Huesca. La batalla dos xéneros , CGAC, Centro Galego de Arte Contemporánea, Santiago de Compostela. Barcelona 1947- 2007, Fondation Maeght, Saint-Paul de Vence. Las tres dimensiones de EL Quijote, El Quijote y el arte español contemporáneo, Narodné Osvetové Centrum, Dom Umenia, National culture Center House of Art, Brastislava. 2008 Bajo techo: cuatro estadios de intimidad, CA2M, Centro de Arte Dos de Mayo, Móstoles. Espagne. La Sombra de la Historia, CGAC, Centro Galego de Arte Contemporánea, Santiago de Compostela. España 1957-2007. L’arte spagnola da Picasso, Mirò e Tápies ai nostri giorni - Palazzo Sant›Elia, Palermo . Italie La collecio Creix, Palau Foundation, Caldes d’Estrac Fundació Suñol Collection 1970-2001 - Fundacio Suñol, Barcelona. 2009 Pascal Comelade, Rocanrolorama - Musée d’art moderne de Céret, Céret. I have a dream International Tribute to Dr. Martin Luther King Jr. - Rosa Parks Museum, Montgomery, AL. Imaginar Historiar, CA2M, Centro de Arte dos de Mayo, Mostoles, Casanovas, Evru, Lotz, Pazos - 9MA, Barcelona. 2010 Raíña Lupa París 1994 / Barcelona 2010, Raiña Lupa, Barcelona Medianoche en la Ciudad - Centre d’Art la Panera, Lleida. Propos D’europe 9.0, Des Artistes Espagnols À Paris, Fondation Hippocrène, Paris. Arte a conciendia, Galerie Joan Gaspar, Barcelone. 2011 Alimon- Trinta Arte Contemporánea, Santiago de Compostela. A Question of Paradigm. Genealogies of Emergence in Contemporary Art in Catalonia - Institut de Cultura de Barcelona, La Capella, Barcelone. 2012 La imagen especular - Tirar del Hilo - Colección Artium / Sala Sur - ARTIUM - Basque Museum Center of Contemporary Art, Vitoria-Gasteiz. Paso En La Tierra, Cicus, Centro de Iniciativas Culturales de la Universidad de Sevilla, Sevilla. Feminist Genealogies in Spanish Art: 1960-2010, Musac Museo de Arte Contemporáneo de Castilla y León, Léon. 2013 93 - CGAC - Centro Galego de Arte Contemporánea, Santiago de Compostela. EXPOSITIONS PERSONNELLES, SOLO SHOWS (Sélection) : 2014 In Corpore. Casa de Los Coroneles. Fuerteventura (Islas Canarias), España. 2013 Renè Peña. Bienal de Arte de Curitiba. Curitiba, Brasil. 2012 3 Monos. Galería Servando. La Habana, Cuba. 2011 René Peña. Citerna Fotografía (Festival d’Arte Fotografica). Citerna (Perugia), Italia. Relaciones Negativas (con Marta María Pérez). Centro de Arte “La Regenta”. Las Palmas de Gran Canaria. Islas Canarias, Espagne. Black+White in Color (con Cirenaica Moreira) – Couturier Gallery. Los Angeles CA, USA. 2009 Voyons voir !!! Galerie Intemporel, Paris, France. 2008 Black Album(Inauguration de FOTOLOGìA 6), Galerie Santa Fe. Bogotà, Colombie Icon. Sala Alterna, Galerie Santa Fe, Bogotà, Colombie 2007 Relations négatives (avec Marta Marìa Pérez), Galerie Habana, La Havane, Cuba Renè Peña. Exposition photographique, Galerie 23y12. La Havane, Cuba 2006 Renè Peña. La fotografìa como rito. Casa Bénito Juarez. La Havane, Cuba Icon. IX Biennale de La Havane, Galerie Casa de Asia, La Havane, Cuba Territoires et Cartographies en Noir et Blanc, Renè Peña, Fran Herbello, Galerie C-5 (Santiago de Compostela). Foire Internationale de Gravure et d’Edition d’Art Contemporain, E XPOSITIONS COLLECTIVES, GROUP SHOWS (Sélection): 2014 Point de rencontre pour imaginaires voyageurs. Galerie Intemporel, Paris 2013 Imagining Cuba. Tyler Art Gallery. Oswego, NY, USA. A journey from Paris to New York, Galerie Intemporel, 330 West and 108st, New York, USA 2012 Caribbean. Crossroads of the world. El Museo del Barrio, Queens Museum of Art, Studio Museum of Harlem. New York, USA. Queloides. Galerie Rudenstine, Harvard University. Boston, USA. 2011 Cuban Visions. Metropolitan Pavilion. New York, USA Quelodies. The 8th Floor Gallery. New York, USA. 2010 2009 10 is one, galerie Intemporel, Design District, Miami FL, USA. Without Masks. Contemporary Afrocuban Art from the Von Christierson Collection. Johannesburg Art Gallery (JAG). Johannesburg, South Africa. Alicia Alonso dances here tonight. Magnan Metz Gallery. New York, USA. Hot Art Basel. Stand “Galerìa La Casona”. Basel, Suisse. Contemporary Art Ruhr Festival. Essen, Allemagne. El azar concurriente. Portugal Arte 10. Lisbone, Portugal. Quelodies. The Mattress Factory. Pittsburgh, USA. Monstruos devoradores de Energía. Plaza de San Francisco. Sevilla, Espagne. Cutlog. Ferìa de Arte Contemporàneo. Galerìa Artraces. Paris, France El trazo del fuego. Galería La Cometa. Bogotá, Colombia. La Otra. Galería La Cometa. Bogotá, Colombia. Cuban Artists’ Books and Prints Show - Fleming Museum, Burlington- Latino Arts, Milwaukee, USA. JAUME PIENSA (Barcelone, 1955) Sculpteur de formation, il pratique également la scénographie et la création de costume pour le théâtre et l’opéra. Il fréquente La Llotja, l’Ecole d’Art de Barcelone. EXPOSITIONS PERSONNELLES, SOLO SHOWS 2006 Museu d’Art Modern de Palma, Mallorca, Espagne. Centre de la Gravure et de l’Image Imprimée, la Louvière, Belgique. Centro de Arte Contemporaneo, Malaga, Espagne. 2007 Centro Cultural de Lectores, Barcelona – Espagne MAMAC, Nice – France Bastion St Jaume, Musée Picasso, Antibes – France Schloss, Celle, Allemagne. 2008 Musée d’Art Moderne et d’Art contemporain, Nice, France IVAM, Valencia, Espagne. 2009 Diehl+Gallery One, Moscou, Russie. Galerie Lelong, Paris, France. Galerie Lelong, New York, Etats-Unis. 2010 Galerie Lelong, Paris, France Nasher sculpture center, Dallas, Etats-Unis. El Centro cultural El Tanque, Tenerife, Espagne. Musée Picasso, Antibes, France. 2011 Madison Square Park, New York, Etats- Unis. Galerie Lelong, New-York, Etats-Unis. 2012 Place Vendôme, Paris, France Musée de Gravelines, France Abbaye des Dunes, Belgique. Galerie Lelong, Paris, France Yorkshire Sculpture Park, Wakefield, Royaume unis. 2013 Galerie Lelong, New-York, Etats- Unis. Setouchi Triennale 2013, Ogijim, Japon. Palazzo Cavalli-Franchetti, Venice, Italie. Ville de Bordeaux, France Galerie Lelong, Paris, France Albright-Knox gallery, Buffalo, New York-USA Mondern Kunst Im Dom, Bamberg, Allemagne Emma, Espoo Museum , Finlande. 2014 Calcografia Nacional, Madrid, Espagne Villa Wessel, Iserlohn, Allemagne. JOAN HERNANDEZ-PIJUAN. BARCELONE 1931-2005, Peintre de formation. 1945–1947 Il suit les cours de l’école des Arts et Métiers de Barcelone. 1952–1956 Etudiant à l’école des Beaux Arts de San Jordi de Barcelone. 1953 Première participation à des expositions collectives et présentation de ses œuvres expressionnistes de résonnance existentielles. 1955 Première exposition individuelle à la galerie Mataró, et participation à plusieurs expositions. 1960 il fut un des créateurs de l’ Ecole dite de Barcelone. avec les membres du Groupe Sílex (Carles Planell, Eduard Alcoy i Lázaro, Josep Maria Rovira–Brull) . 1964 – 1965 Exposition à la galerie Renè Mètras de Barcelone où il présente sa série de lithographies Les Estampes de la Cometa. Il reçoit le Prix Maribor à la VI Biennale Internationale de gravure à Ljublijana (Ukraine) 1966 – 1967 Création d’une nouvelle série de lithographies Las Celdas, récompensée à la Biennale internationale de la gravure de Cracovie en Pologne. 1971 Récompense pour la publication de Vijesnik u Srijedu à Zagreb (Croatie) lors de la II Biennale Internationale du dessin Rijeka. 1972 Durant les années soixante sa recherche picturale porte sur le thème et les techniques du paysage. 1974 Il crée la série de gravures et d’aquatintes Escala 1.100 pour la collection d’estampes de la Cometa. 1977 Il enseigne à l’Ecole supérieure des Beaux Arts de Sant Jordi de Barcelone. 1979 Le Cabinet des Estampes du Musée d’Art et d’Histoire de Genève présente l’exposition l’œuvre gravée de Hernández Pijuan. 1980 Il devient Membre du comité des activités de la fondation de Barcelone Miró. 1981 – 1984 Reçoit le premier prix national des Arts plastiques. Dirige l’atelier d’art contemporain Circulo des Beaux Arts de Madrid. 1985 Il reçoit l’honneur civil Creu de Sant Jordi par la région de la Catalogne. 1986 – 1987 Il dirige un atelier d’art contemporain à Las Palmas, Canaries et un autre atelier de peinture à l’école Eina de Barcelone, il est également invité à prendre à celui du Triangle - Art de la même ville. 1988 – 1989 Termine sa thèse de doctorat Pintura i Espai: una experiència personal. Il devient Professeur de Peinture à la Faculté des Beaux Arts of the l’université de Barcelone. 1990 Création de deux peintures murales pour le centre sportif olympique Montjuic’s de Sant Jordi de Barcelone. 1991 Présentation au musée des Beaux Arts de Bilbao de l’exposition et du catalogue Dix ans d’œuvres graphiques 1980-1990. 1992 Exposition intitulée Peintures 1972-1992 au the Centre Culturel Tecla Sala à L’Hospitalet de Llobregat Direction d’un atelier de peinture à Arteleku Saint Sébastien. Participation à l’exposition Pasages au pavillon espagnol dans le cadre de Expo’92 de Séville. Il présente également une exposition personnelle au Pavillon de la Catalogne. Nomination en tant que doyen de la faculté des Beaux Arts de l’université Arts de Barcelone. 1993 Exposition Espacios de Silencio i de 1972-1992 au musée national du centre d’ Art de Reina Sofía de Madrid, et celui de Monterrey à Monterrey, Mexico etc. Réalisation de la peinture monumentale du plafond de Aula Ramón y Cajal de l’université de Barcelone. Présentation de l’exposition itinérante Sensación y lugar 1983-1993 à Burgos, Grenade et Logroño. 1996 Réalisation d’une peinture murale pour l’église de Santa Maria in Castelldefels, Barcelona. Nomination en tant que membre de l’académie royale des Beaux Arts de San Fernando, de Madrid. 1998 – 1999 Présentation de l’exposition itinérante Sentimiento de paisaje 1976-1998 dans l’espace Credito Valtellinese Gallery au Refettorio delle Stellini de Milan, puis au Frankfurter Kunstverein de Francfort. 2000 – 2001 Exposition rétrospective de dessins au Rupertinum Museum de Salzburg, Autriche. 2002 – 2004 Présentation de l’exposition Obra Gráfica III (1991- 2002) à La fondation du musée de la Gravure contemporaine Création d’une œuvre picturale monumentale intitulée Núvol en forma de malla per l’Ajuntament de Barcelone pour le plafond de la Chambre des députés de Barcelone. Présentation au musée d’Art contemporain de Barcelone de l’exposition rétrospective Joan Hernández Pijuan. Tornant a un lloc conegut. 1972-200,2 puis elle sera itinérante au musée d’Art et d’Histoire de Neuchatel, au Kontnshalle Malmöe de Malmo, Suède et à la galerie Comunale d’Art moderne de Bologne. 2004 – 2005 Participation à la 51ème Biennale de Venise et présente The Experience of Art and Always a Little Further au Pavillon italien. Awarded the Premio Nacional de Arte Gráfico. Dies in his house in Barcelona on the 28th of December. His ashes lie in Folquer in front of his loved landscape. JOSEPH RIERA I ARAGO (Barcelone, 1954) ANTONI TAPIES (Barcelone, 1923-2012) 1943 1972 Il fréquente la faculté des Beaux Arts de l’université de Barcelone. 1973 L’Académie Royale des Beaux Arts de Sant Jordi, de Barcelone. EXPOSITIONS PERSONELLES, SOLO SHOWS 1984 Fundació Joan Miró, Barcelona, Spain. 1998 Riera i Arago : New Works Joan Prats Gallery, New York NY, Etats- Unis. Galerie Franz Swetec, Düsseldorf, Allemagne. 1999 Galerie Boisserée, Cologne, Allemagne. 2000 Galerie de Rijk , La Haye, Pays - Bas . 2001 Lowe Gallery, Atlanta GA, Etats- Unis. 2003 Sculpture and Paintings Tasende Gallery, West Hollywood CA, Etats- Unis. EXPOSITIONS COLLECTIVES ET FOIRES INTERNATIONALES. 2000 ART Paris, art moderne et création contemporaine, Carrousel du Louvre , Paris, France : Galerie Kandler (Toulouse, France.) KUNSTKÖLN 2000, Internationale Messe für Editionen, Art Brut, Kunst nach Cologne,: Boza Editor, (Barcelone, Espagne.) 2001 Art Basel Miami Beach: cancelled Miami Beach Convention Center – Miami Beach FL, Etats- Unis : Galería Polígrafa, (Barcelone Espagne.) Art 32 Basel Messe Basel, Basel BS, Switzerland, : Galería Polígrafa (Barcelone, Espagne.) KUNSTKÖLN 2001, Internationale Messe für Editionen, Art Brut, Cologne, Allemagne : Art Selection, (Kilchberg, Suisse.) 2002 Art Basel Miami Beach Miami Beach, Convention Center, Miami Beach FL, Etats- Unis : Galería Polígrafa , (Barcelona, Espagne.) Art 33 Basel Messe Basel , Basel BS, : Galería Polígrafa Barcelone, Espagne. ArtBrussels, 20th Contemporary Art Fair Brussels Expo, Bruxelles, Belgique : Galerie Denise Van De Velde , (Aalst, Belgique.)22 2003 Art Basel Miami Beach Miami Beach, Convention Center – Miami Beach FL, Etats - Unis : Galería Polígrafa , (Barcelone, Espagne.) Art Cologne, n° 37 Cologne, Allemagne : Galería Polígrafa , (Barcelona, Espagne.) XAVIER SERRA DE RIVERA (SANT JOAN DESPI, 1946) Peintre, graveur et dessinateur. Il étudie à l’École de Beaux-arts de Sant Jordi et au Conservatoire des Arts du Livre de Barcelone. 1969 Exposition de gravures. 2005 Exposition collective 7351 Dias, Galerie Alejandro Sales, Barcelone. 2010 Exposition personnelle, Retrat I Tempo, Espace Volart Fundacio, Villa Casas. Barcelone. Il suit les cours de dessin de l’académie Valls. EXPOSITIONS PERSONNELLES, SOLO SHOWS (selection) 1995 The Solomon R. Guggenheim Museum, New York. 1999 Collection Essl Museum, Klosterneuburg, Autriche. 2004 Musée d’art contemporain (MACBA), Barcelone Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid. Centro Cultural Banco do Brasil, Sao Paulo, Brésil. 2005 Essl Museum, Klosterneuburg, Autriche. Patio Herreriano, Valladolid, Espagne. Hara Museum of Contemporary Art, Tokyo 2006 Waddington Gallery, Londres. 2009 Galerie Lelong, Paris. Kunstmuseum, Saint-Gall, Suisse. 2010 Galerie Waddington, Londres. Marca, Catanzaro, Italie. Fondation Tapies, Barcelone Espagne. 2011 Galerie Lelong, Paris. EXPOSITONS COLLECTIVES, GROUP SHOWS 1949 Salon de octubre, Barcelone. Institut français, Barcelone. Salon de los Once, Madrid 1950 Exposition à la Pittsburg Internatonnal Exhibition of Contemporary Painting. 1953 Biennale de Sao Paulo. 1960 New spanish painting and sculpture au MOMA de New York Before Picasso, after Miró au Musée Solomon R. Guggenheim. 1964 Painting and sculpture of the decade, Tate Gallery, Londres 1967 Galerie Maeght de paris. Kunstmuseum de Saint-Gall, Suisse. JOAN VILACASAS (SABADELL 1920 -2007 BARCELONE) Peintre, graveur, céramiste. 1940 Etudes à l’École du Louvre et à l’Atelier Canivet. EXPOSITIONS PERSONNELLES, SOLO SHOWS: 1941 Première exposition à l’Académie des Beaux Arts de Sabadell. Il y expose chaque année jusqu’en 1950. 1944 Exposition à Barcelone (Sala Pictòria). 1950 Il s’installe à Paris. Exposition à la Sala Gaspar de Barcelone. 1951 Exposition de peintures et gravures à la Galerie la Boétie Paris. 1952 Exposition Vilacasas à la Sala Gaspar de Barcelone. Il participe au IIIe Salon de Jeunes Peintres à Paris. 1953 Participation à l’Exposition Peintres et Sculpteurs du Collège de la Cité universitaire à Paris ainsi qu’à l’exposition Artistes espagnols à la bibliothèque espagnole de Paris. 1954 Expose à Paris, à la Galerie Vivet ainsi qu’à Barcelone, à la Sala Gaspa. 1956 Expose à Barcelone (Sala Gaspar). 1960 Il quitte Paris et s’installe définitivement à Barcelone. Exposition personnelle à la galerie Prisme de Madrid. La Nueva pintura Espanol à Athur Toot & Sons Ldt, à New York, Before Picasso ; After Miró (The Salomon R.Guggenheim Museum), à Bilbao (Arthogar EXPOSITIONS COLLECTIVES, GROUP SHOWS 1985 Il collabore aux expositions Un segle de revistes d’art i poésia à la Sala Gaspar au musée d’Art de Sabadell, El Gravat de creació à Barcelone, Retratos à la Galerie Facción. 1986 Son œuvre est présentée dans l’exposition Arte Español en Nueva York 1950-1970, organisée par la Fundación Juan March de Madrid. Il participe à l’exposition Paraguas Inmorales, présentée à Barcelone et à Madrid Círculo de Bellas Artes. Le théâtre Goya de Barcelone présente sa création de Sin Chapa y sin collar. 1987 Exposition de ses Astrometries 86-87 à dans la salle Quasar de Sabadell et participe également à l’exposition Autoretrats du musée d’Art. Ses Astrometries sont également présentées à Escala Cósmica au Planetarium de Barcelone. 1994 Exposition à Moscou, au Musée Pouchkine, dans le cadre de l’exposition El Realismo en la pintura actual española. Exposition au Solverborgs Konsthall de Suède. Participe à l’exposition Arta Catalana à la Galerie Etaj de Bucarest. Exposition à la Sala Thomas de Weiden. Allemagne. Diffusion de la série télévisée Amb l’aigua al Call en 1990. Présentation de sa pièce Tia Bona à La Faràndula de Sabadell en 1992. 1995 Participation aux expositions présentées à Barcelone : Art solidari contra la sida, Drassanes . Un crit contra la intolerància, Escola Industrial. 7 del MAN avui Galeria Tres Punts. Mostra d’Art Català de Sabadell. 1997 Exposition Del Retrato al Autoretrato, Galerie Maria José Castellví de Barcelone. A la nouvelle édition de Un crit contra la intolerància, Casa Elizalde. Exposition rétrospective de son oeuvre Pintura i estructures à L’Académie des Beaux Arts de Sabadell avec plus de 80 pièces exposées. 2002 Inauguration de la Galerie d’Art Shatevín à Barcelone avec l’exposition Joan Vilacasas. Planimetries. Inauguration de la Bibliothèque Centrale de Sabadell où est exposée en permanence la Seat 600 dont le titre est devenue Autometria 600 de Joan Vilacasas. 2005 Exposition individuelle Joan Vila Casas dans la collection du Muséeu d’Art de Sabadell, Planimétries (peintures, dessins, gravures), structures et céramiques. 2006 Il participe à l’exposition virtuelle collective de gravures Gravadors catalans del segle XX a la Biblioteca de Montserrat. Collection de la bibliothèque du monastère de Montserrat MIQUEL VILLA (BARCELONE, 1901- El MASNOU 1988) Etudie à l’Ecole des Beaux Arts de Sant Jordi. Première exposition à Bogota Colombie. 1922 Il s’installe à Paris et il expose au Salon d’Automne et au Salon des Indépendants. 1936 Exposition à la Galerie Syra de Barcelone. 1951 Participation au salon des onze Madrid. 1977 Exposition anthologique à Madrid. 1985 Exposition anthologique à Madrid. ORIOL VILAPUIG (SABADELL, 1964) Peintre de formation. Il étudie pendant trois ans à l’école d’Art et Design Eina de Barcelone, et plus tard a à la Faculté des Beaux-arts de l’Université de Barcelone. EXPOSITIONS PERSONNELLES, SOLO SHOWS 1986 Academia de Bellas Artes de Sabadell. 1987 Estudi Quasar Sabadell. 1990 Espai 83 Musée d’Art de Sabadell. 1991 Cercle Cultural de la Fundació La Caixa Granollers. 1992 1994 1995 1996 1997 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2008 2009 Galería Quart Barcelona. Conte d’Hivern, Universidad de Valencia. Jardins sota la pluja, Librería Crisol, Valencia. Galería Ignasi Boxareu, Sabadell. Galería My Name’s Lolita, Valencia. Galería Fúcares , Almagro, Ciudad Real. Galería Fúcares, Madrid. Galería 16 San Sebastián. Galería Siboney, Santander. New Art’ 97, Galería Joan Prats, Barcelona. Galería Marisa Marimon Orense. Els ulls de Pan, Club Diario Levante, Valencia. Galería Fúcares, Madrid. Galería Fúcares , Almagro, Ciudad Real. Galería Sandunga, Granada. Galería Joan Prats, Barcelona. Dels assaigs, Sala de Arte de la Universidad de Málaga. Galería Joan Prats, Barcelona. Res Galería Fúcares, Madrid. Galería Sandunga, Granada. Museo de Arte de Sabadell. Galería My Name’s Lolita, .Valencia. El placer y la sombra, Palacio Episcopal y Torre de doña Blanca de Albarracín, Teruel. El placer y la sombra, Club Diario Levante, Valencia. Galería Joan Prats, Barcelona. De la naturaleza de las cosas, Galería La Caja Negra, Madrid. Dels assaigs, Galería Joan Prats, Barcelona. EXPOSITIONS COLLECTIVES, GROUP SHOWS 1984 V Biennale de Arte de Barcelona, Caixa de Barcelona. 1989 II Biennale del Vallès, Cercle Cultural de la Fundació La Caixa, Granollers. 1990 III Biennale del Vallès, Cercle Cultural de la Fundació La Caixa, Granollers. 1991 Límits, Casal Pere Quart, Sabadell. 1992 3 Biennals/7 artistes, Fundació La Caixa, Reus, Vich y Granollers. 1992 Romantic Spanish Paintings , Galería Long & Ryle, Londres, Angleterre. Natural and Reverie, Victoria Art Gallery, Museo de Arte de Bath, Angleterre. 1996Eina, Homenatge a Joan Miró (Galería Carles Taché, Barcelona. 1996-2003 ARCO Feria Internacional de Arte Contemporáneo, Madrid. 6 contemporanis del BS (Museo de Arte de Cerdanyola, Cerdanyola del Vallès, Barcelona.
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